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"Pour un sarkozysme de gauche"

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La Diagonale fait peau neuve !

Venez visiter dès à présent le nouveau site de La Diagonale : http://www.ladiagonale.org
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#Posté le vendredi 03 novembre 2006 11:02

Modifié le lundi 06 novembre 2006 04:09

Culture de mort...

Face à l'ensauvagement des banlieues, la gauche se montre indécrottable et plus irresponsable que jamais.
Ainsi le ci-devant Premier ministre Pierre Mauroy, le jeudi 26 octobre, dans l'émission "Questions d'info" sur LCP, qualifiant de "jeunes qui n'en peuvent plus" les agresseurs de policiers et les assaillants d'autobus.
Comment ne pas percevoir là un encouragement aux exactions, et du même coup, un véritable blanc-seing idéologique donné au dérapage dans le crime, tel qu'il a pu se produire à Marseille le surlendemain ?
Face à la banalisation des violences urbaines, cette gauche n'a toujours rien vu, rien compris. Pire, elle attise l'explosion.
Aussi incapable de construire une utopie mobilisatrice, comme naguère, que de formuler un projet de société moderne, elle préfère cultiver la haine et le déni des valeurs.
On est bien loin, à cet égard, de la "naïveté" dont Lionel Jospin, en 2002, confessait tardivement et timidement avoir fait preuve en matière d'insécurité.
Taxer la gauche d'angélisme serait sous-estimer son rôle historique dans le brouillage des repères civiques de la nation, notamment de ses classes les plus vulnérables, et dans la promotion de l'anomie.
C'est avec cette culture de mort qu'il faut en finir.
Ce sera un objet majeur de la rupture voulue par Nicolas Sarkozy.
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#Posté le jeudi 02 novembre 2006 16:02

Débat "PRISON" : jeudi 9 novembre au Sénat

Le prochain grand débat de La Diagonale prendra la forme d'une table ronde sur le thème des prisons autour notamment de Véronique VASSEUR, ancien médecin-chef de la prison de la Santé, et de Georges OTHILY, sénateur de la Guyane et membre du groupe RDSE (radical).

Il aura lieu le jeudi 9 novembre à partir de 18h15.

Pour cet événement, le groupe radical nous accueille au Palais du Luxembourg, dans une salle des commissions du Sénat (Aile Est, 2e étage, salle 216).

Pour des raisons de sécurité, la liste des invités et journalistes devant être transmise le mardi 7 novembre au soir, merci de nous confirmer votre présence avant cette date.

La Diagonale

Email: contact@ladiagonale.org
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#Posté le mardi 31 octobre 2006 14:56

Chronique de blog : AgoraVox

La diagonale de Sarkozy

Qui connaît la Diagonale ?


La Diagonale est un groupe discret. Un club politique qui a ses entrées au Figaro, l'un des seuls journaux à couvrir ses activités et à publier ses billets, en général de violentes attaques contre Ségolène Royal. Il tient ses réunions aux Bains Douches, un club branché de la capitale. Et il accueille du beau monde. Car la Diagonale réunit... les sarkozystes de gauche !

Pour un sarkozysme de gauche, c'est le titre du premier billet publié par La Diagonale sur son Skyblog, le 1er mai 2006. Qu?est-ce que le sarkozysme de gauche ?



"Nous pensons qu'aujourd?hui, en dépit de son appartenance affichée à une droite décomplexée, Nicolas Sarkozy est le seul homme à se positionner sur la rupture et à vouloir moderniser notre pays, écrit la Diagonale. Sans vouloir forcément rejoindre l'UMP, nous souhaitons néanmoins prendre une juste part à la démarche que Nicolas Sarkozy a engagée et nous nous déclarons ouverts à sa méthode qui s?illustre par sa grande capacité d'écoute, sa modernité et son volontarisme."

La mention "sans vouloir forcément rejoindre l'UMP" indique clairement que nous sommes face à une sorte de "sas". Un guichet destiné à enregistrer le ralliement discret d'une partie de la gauche. Ou plutôt, comme on le verra, des élites de gauche. Car, on ne sera pas surpris, les ouvriers et les précaires ne se bousculent pas pour débattre aux Bains Douches.




Sur le fond, poursuit le groupe dans ce texte fondateur : "Force est de reconnaître, tout d?abord, que Nicolas Sarkozy [...] a créé un climat intellectuel que certains d?entre nous avions vécu à gauche dans les années soixante-dix, mais dont nous étions, depuis, devenus orphelins." Nicolas Sarkozy, en plus de "sa capacité d'écoute, sa modernité et son volontarisme", incarne donc l?esprit de 1968. On verra plus loin qu'il ressemble aussi à de Gaulle. La Diagonale, qui fait aussi volontiers référence à Mitterrand, n?est pas à une contradiction près.

Nicolas Sarkozy ouvre, toujours selon la Diagonale, "de nouvelles pistes" pour "maîtriser l'ordre public" et "combattre la première des injustices sociales qu'est l'insécurité". Air connu. Autres "pistes" : le "goût" supposé de Nicolas Sarkozy pour "la méritocratie républicaine" et "la relance de l'ascenseur social grâce à la discrimination positive". "La suppression de la double peine" et le "droit de vote aux municipales des étrangers sur le territoire depuis dix ans" sont également mentionnés. Ces deux derniers points sont un peu datés, puisque le ministre de l'Intérieur a beaucoup nuancé son discours, et sa pratique pour ce qui concerne la double peine, depuis la rédaction du texte.



A la fin, on trouve pêle-mêle, rassemblés dans la même phrase, les "femmes", les "prisons", les "homosexuels" et les "rave-parties"... "Sur ces nombreux sujets de société, nous dit-on, Nicolas Sarkozy a non seulement pris son propre camp à contre-pied mais a aussi décidé ou proposé ce que la gauche au pouvoir n'avait jamais imaginé ou osé mettre en œuvre." Il aurait fallu préciser en quoi Nicolas Sarkozy a fait preuve d?imagination dans ces domaines, où il semble, au contraire, très discret. Mais le texte s?abstient de le faire.



"Loin d'être sarkophages, nous sommes sarkocompatibles, sarkophiles voire sarkozystes", conclut la Diagonale.


Deux jours plus tard, le 3 mai, une antenne de La Diagonale est créée en Poitou-Charentes, la région de Ségolène Royal, et les attaques contre la candidate socialiste commencent. Elles ne cesseront pas, relayées par des tribunes publiées dans Le Figaro. La Diagonale s?affirme à partir de cette date comme un outil de combat contre la candidature de Ségolène Royal. Et l'"Appel de Vichy" lancé le 1er septembre par La Diagonale, qui tenait là-bas son séminaire d'été, se conclut d?ailleurs par ces mots : "De même, il est dangereux pour la liberté des Français que soit entretenue la confusion entre les notions d'ordre public et d'ordre moral, car elles s?opposent frontalement. En soutenant la candidature de Ségolène Royal, le Parti socialiste ferait résolument le choix de l?ordre moral et renoncerait ainsi à affronter les blocages de la société française."


Sur le fond, en quoi "l'ordre moral" s?oppose-t-il à "l'ordre public"... ? Sarkozy aurait-il l?intention, comme l'en accusent, il est vrai, de très nombreuses associations de défense des droits de l?homme, de créer un ordre public immoral... ? Le discours est maladroit. Voire carrément obscur. Mais l'essentiel n'est-il pas d?exister ? Et d'attaquer Ségolène Royal sur sa gauche ?



Qui se cache derrière La Diagonale ? Il faut distinguer deux niveaux.




D'abord, le niveau visible. La Diagonale a été fondée officiellement par un certain nombre de "déçus" de la gauche, au premier rang desquels figure Patrick Rajoelina, professeur de droit européen, ancien rocardien, qui dit avoir quitté le PS en 1994, et aurait fait partie de divers cabinets ministériels - notamment celui de la ministre socialiste du Logement Marie-Noëlle Lienemann -, sous Pierre Bérégovoy et Edith Cresson (...). En dehors de ces activités à la Diagonale, Patrick Rajoelina est un spécialiste de la politique malgache, au point de présider la Société des amis de Madagascar.


Aux côtés de ce personnage, on trouve, notamment, Philippe Sauvannet, ancien patron de la Fédération PS de l'Allier, Nicolas Langero, directeur de l'Espace Cardin, et... le docteur Véronique Vasseur, ancienne médecin-chef de la maison d'arrêt de la Santé. Le ralliement de cette dernière a de quoi surprendre.




"Je ne suis pas sarkozyste de gauche parce que je ne suis pas de gauche, a expliqué Véronique Vasseur à l'AFP le 3 juillet 2006. Je suis connotée à gauche". "La gauche monopolise la bien-pensance, la pensée juste. C?est très pesant et très pénible. Dès que je dis que je suis pour Nicolas Sarkozy, je suis traitée de réac ou de facho. J'en ai marre", a-t-elle ajouté. Dur, dur, d'être sarkozyste quand on est "connotée" à gauche.




La Diagonale revendique d?ores et déjà une liste impressionnante de soutiens parmi les "stars" de gauche : "Max Gallo, Bernard Tapie, Jacques Attali, l'ex-lofteuse Kenza, Georgina Dufoix, Pascal Sevran"... Tous ceux qui, comme l'écrivait le journaliste Grégory Marin dans L'Humanité du 6 juillet 2006, ont "à un moment ou un autre eu une phrase aimable à l'égard du président de l?UMP". Ce qui commence à faire du monde, même à gauche, en cette année préélectorale.



Ces "stars" sont-elles pour autant "sarkozystes" ? Rien n?est moins sûr. On connaît avec certitude, en revanche, la liste des participants aux réunions publiques de la Diagonale. Et on est surpris d'y trouver Jean-Marie Bockel, le maire (PS) de Mulhouse et président de l'Association des maires des grandes villes (AMGV), ou encore Marin Karmitz, président et fondateur du groupe MK2. Pas exactement des personnalités de droite. Et qui viennent débattre de Sarkozy et de la culture, ou de : "Peut-on être de gauche et sarkozyste ?"


Au niveau officieux, on trouve, bien sûr, parmi les fondateurs de La Diagonale le bras droit de Nicolas Sarkozy, Brice Hortefeux. Et son directeur de cabinet Thierry Coudert, qui, dans Le Figaro du 4 juillet 2006, ne lésinait pas sur la comparaison : « Il y a bien eu, en son temps, les gaullistes de gauche, de Léo Hamon à René Capitan ». Nicolas Sarkozy élevé à la stature du général de Gaulle. Le débat prend de la hauteur.



Un groupe de "sarkozystes de gauche", créé un 1er mai, communiquant par le biais d?un Skyblog - l?outil de communication préféré des "racailles" , et se réunissant aux Bains Douches... Cela fait beaucoup de symboles pour un mouvement "spontané". Et on pense plutôt à une opération, bien pensée, de communication politique pour rallier l?élite de gauche à une candidature Sarkozy. Reste à savoir si, face à cette diagonale, l?électeur de gauche ne sera pas tenté, lui, de prendre la tangente...
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#Posté le jeudi 26 octobre 2006 12:19

Après les Bains... (presse)

Sarkozistes de gauche : une nouvelle espèce

Les amis du candidat présumé de l'UMP rêvent de séduire de nouveaux électeurs. Démonstration parisienne.

L'Est Républicain du 24 octobre 2006 par Jean-Marie COLIN

Au printemps, ils se sont découverts des états d'âme analogues : bien que de « sensibilité de gauche pour la plupart », disent-ils, quelques-unes des positions du PS ont fini par leur donner des boutons. Pour Patrick Rajoelina, un professeur de droit européen jadis rocardien, le « bog » remonte à « la ligne droitière des années Jospin ». « Depuis 1994, dit-il, j'ai quitté le PS. » Pour d'autres, comme Thierry, formé dans les cabinets ministériels du « programme commun », la rupture tient plutôt de cet « ordre moral » insufflé par Ségolène Royal dans « le jeu présidentiel socialiste » : une « doctrine rétrograde, dogmatique, autocratique »...

Avec internet et les e-mails, ils se sont retrouvés une vingtaine en avril. « Plutôt des gens de gauche, qui un jour se sont aperçus qu'ils n'étaient pas seuls, dans leur coin, à rêver de Sarkozy en se rasant », s'amuse Frédéric. « La Diagonale », dernier club politique parisien dont on va causer, était née. Avec un blog branché sur l'internet. Une première succursale en Poitou-Charentes. Un tonitruant slogan en mai, « pour un sarkozysme de gauche ». Une fine équipe suivie par le bras droit de Sarkozy, Brice Hortefeux, comme lait sur le feu.

Début juillet, un premier débat fait un flop. Mi-septembre, l'invité Jean-Marie Bockel, maire PS de Mulhouse, parvient à « bouger les lignes » : une première « passerelle », d'autant que le sénateur Bockel a su dire les « aspects positifs » du projet de loi Sarkozy sur la prévention de la délinquance.

Aux Bains-Douches

Murs, rideaux et fauteuils immaculés, lumière rouge tamisée, sono d'enfer : pour son troisième débat, hier soir aux Bains-Douches, lieu parisien jadis branché, ce sont Denis Olivennes, patron de la Fnac, normalien, énarque et agrégé de littérature, et Marin Karmitz, le réalisateur, patron des onze complexes de cinéma parisiens MK2, qui sont invités à plancher sur la culture. « Rien n'a bougé en France » depuis l'époque Malraux -l'invention d'une politique de la culture- et la première période Lang, explique Karmitz. « On n'a pas trouvé de relation conviviale entre le besoin de culture et les besoins du marché ! C'est le marché qui fait la culture ! » « On est à la veille d'une mutation profonde, à un moment de bascule important » ajoute le patron de la Fnac. « Si les Français, qui ont inventé l'exception culturelle n'y réfléchissent, nous risquons pour la diversité culturelle du monde ! » Au-delà de l'impérialisme américain, c'est aujourd'hui le risque d'une « culture de divertissement mondialisée ». Elle a déjà gagné le cinéma, elle touche la musique, elle gagne, avec des succès comme Da Vinci Code, « l'univers jusque là protégé du livre ».

Pince à vélo

Et Sarkozy dans tout ça ? « C'est le pouvoir politique qui peut, seul, faire exister cette diversité culturelle » assure le patron des MK2 sans entrer dans le débat gauche-droite. La salle, près de 200 personnes, écoute et s'observe. Le réseau de La Diagonale s'est construit via internet : 170 Parisiens ont répondu à l'invitation publiée dix jours plus tôt. Ils ne se connaissent guère. Certains, arrivés en métro, sont trempés. D'autres ont conservé leur pince de vélo à la cheville droite. Cinquante resteront pour le dîner, convivial mais payant. Sur le blog du club, les fondateurs stigmatisent davantage le PS : ses « promesses non tenues » de « conservateur du musée des acquis sociaux ». Eux sont des « empêcheurs de tourner en rond, ils veulent une « rupture », bref « changer la vie » ! « Loin d'être sarkophages, » écrivent-ils, « nous sommes sarkocompatibles, sarkophiles voire sarkozystes ». Pour « une France qui avance, s'adapte et se rénove ».
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#Posté le mercredi 25 octobre 2006 01:44

Modifié le mercredi 25 octobre 2006 16:55

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